Pardonnez-moi, gente dame, j’ai quelque mot qui pèse sur mon cœur à vous dire…
Je n’ai que faire de ces racontars à votre sujet,
Que faire de ces idiots dans votre palais.
Ce qui m’attire mais me hante aussi,
C’est votre voix, votre âme et votre esprit.
Je ne rêve plus que du jour où,
Vos yeux, charmant,
flamboyant
et mystérieux,
Où vos cheveux,
Doux, riche et si soyeux
On caressé mon visage.
Pardonnez mes misères,
Pardonnez mes affronts,
Pardonnez mon innocence,
Car, malgré que votre cœur appartienne à ce Mage,
Je ne peux tourner la page,
Je braverais tempête et marée
Simplement pour vous parler.
Je sais que votre cœur ne sera jamais miens,
Mais sachez ma dame,
Que lorsque je ferme les yeux, je vous vois
Et lorsque que je les ouvre, je vous cherche…
Ne m’oublier pas je vous en pris
Car mon cœur est a vous
Et ma vie vous est dévoué.