C'est un froid brulant
Qui est tel un teson ardent
planté droit au coeur:
Sous ce coup fatale, la joie se meurt,
Et le sommeil fuit
Me laissant seul au millieu de la nuit
Avec le passé comme seul compagnon
Qui ramène cette injure faite a mon nom.
Que ne comprennent-ils pas, âmes damnés
De la chances qu'ils ont?
Et que n'ont-il compris que c'est mon but en vérité
d'atteindre l'ultime perfection?
Et que de l'interrieur, cela peut me tuer
Que de me ramener toujours a cette porte
À jamais pour moi fermée?
Et que c'est la rage que je bloque
Lorsqu'ils me tiennent ces propos
En ignorant de mon esprit tout les maux.
Encore maintenant, j'ignore totalement pourquoi
Ils ont dit cela
Était-ce pour m'apprendre, Pour répliquer?
Ils auraitent pu le laisser se défendre, au lieu de me briser
Ils ont en moi allumé
Une flamme bien plus glacée
Que toutes ces nuits de tempêtes hivernales
Et plus tenaces que tout ces vices infernals
Et même si a quelque part, je voudrais bien
Effacer cette instant maudit de cette parfaite journée
Tout effort en ce sens seraient totalement vain
Car je suis incapable d'oublier
Et le pire, ce n'est pas l'insulte
C'est qu'ils n'ont pas compris, les incultes
Que cela me blessait.
'' Ils me connaissent'' que je me disais.
Mais c'est ce qui arrive souvent
Avec la plupart des gens
Tous trop aveugle pour bien me voir
Tous trop naïf pour bien me savoir.