Azarius
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Azarius

Jeu de role médiéval fantastique dans un monde inexistant
 
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 Pyromancien

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Mickel Ange
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Mickel Ange


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MessageSujet: Pyromancien   Pyromancien EmptyLun 5 Juin à 12:09

Ch. 1:

Dix ans plus tot jour de fête
anniversaire du jour qui l'a vu naitre
supposé jour de joie
le petit Reladius y trouva la voie
Lorsque de sanguinaires étrangers
Cavaliers sombres au visage tatoué
sont venu par le chemin,
tuant homme, femme, et malheureux galopins.
Brave était son père
qui leur tint tête, vaillant et fier,
Pour défendre sa famille et ses biens
tristement ce fut en vain
Caché jusqu'alors
le petit ne suporta pas la mort
et tenta de s'en aller
Le brigand, plus vif, eut tot fait de l'assomer.
Dans un lit de cendre il ouvre les yeux
Sa maison a bruler, mais lui, grace aux cieux
n'a souffert d'aucun dommage.
Il fait la promesse, malgré son jeune age
De retrouver les brigand
de venger ses parents
À l'épée et à l'arc, pendant une année durant
Il s'entraine ardemment
Puis prend la route avec une troupe de marchant.




Cha. 2:

C'est le début du voyage
Et l'accompagne pour commencer
un marchant, deux mercenaire, une fillette de son age
Et un Barde voyageur, musiciens invétéré
Entre les légendes et les mélodies
Dans lequel il excel
Il apprend beaucoup au petit
qu'il semble prendre sous son aile
la musique, focalise l'esprit
et dompte ses propres pouvoirs
le petit n'est pas sur de le croire
mais qu'à cela ne tienne: il l'essaiera cette nuit!
Il subtilise donc un instrument
et une chandelle allumé,
aproche sa main de la flamme tout en jouant
puisqu'il était, au début, invinsible au brasier
la flamme sous ses yeux s'est mise à danser
puis s'est mit a grandir follement
lui, absorber dans son nouveau talent
faillit ne rien remarquer.



Dans la caravane, il se fait engager par le proprietaire bourgeois comme garde du corps. Bien sur, celui-ci ne compte pas avoir le petit comme guerrier: il se dit qu<il peut bien lui donner le voyage, et que cela ne lui coutera rien. Le petit a deja sa nourriture. Le petit groupe est composer du proprietaire et de sa fille, qu il ne voulait pas abandonner, de deux valeureux guerriers, mercenaires engage, et d<un barde voyageur, joueur de musique inveterer. celui-ci divertit le trajet, et ne perd pas temps avant de l idolatrer. Le barde commence a lui apprendre la musique, qui, selon lui, focalise l esprit, et est la seule veritable magie.


Dernière édition par le Ven 16 Juin à 12:54, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Pyromancien   Pyromancien EmptyMer 7 Juin à 17:02

Le pyromancien

Dans le ciel, la pleine lune jette ses rayons d’argents sur le paysage. Le temps passe lentement, les secondes s’écoulent les unes après les autres. L’ombre de la mort plane autour de nous. Dire qu’il y a quelque semaines à peine, cette ombre m’aurait fait rire de son irréalité : je lui ai déjà échappé mainte fois, et si elle m’attrapait maintenant, qu’est-ce que ça change? Mais maintenant… tout cela a changé. Aujourd’hui, j’ai peur, peur pour mes amis, mon peuple et ceux que j’aime. Peur pour le travail de mes ancêtres, ce que les multiples générations ayant passé avant moi ont construit.

La prochaine bataille risque de m’être fatale, aussi vais-je écrire mon histoire dans cet ultime message. Il y a dix ans, j’étais fils de fermier, maintenant je suis à la tête d’une armée. Comment j’en suis arrivé là? C’est ce que je m’apprête à expliquer…

J’habitais dans un petit village tranquille, et je n’avais aucune ambition autre que de grandir, avoir une femme, une maison et des enfants. Le destin en voulu autrement puisque, un peu plus tard, la journée même de mon dizième anniversaire, Des brigands sont venus, brûlant les champs et tuant tout sur leur passage, y compris les femmes et les enfants. Je ne me rappelle que trop bien cette journée ou les flamme rugissaient l’enfer tout autour de moi et ou les rayons sanglant du soleil, dans le ciel obscurci par la fumée, éclairaient la scène d’une funeste lumière. J’étais caché dans la grange, et je regardais avec désespoir le spectacle qui s’offrait a moi, comme dans les histoires que trop souvent j’avais entendu dans les comptes pour enfants… Mon père, debout devant notre maison, tenait dans sa main une large épée, et tenait tête avec bravoure a l’un des guerriers sanguinaire… mais il n’y pouvait rien : jamais de sa vie il ne s’était battu, sauf dans ses jeux d’enfants… Je vis sa tête rouler dans les herbes, abattue par la lame de son adversaire, et je ne pus retenir un cri d’horreur. J’ai poussé les portes de la grange et je me suis mis à courir sur la petite allée de la maison, croisant le regard du meurtrier de mon père. Jusqu'à la fin je m’en rappellerai : ses yeux étaient remplis de haine, et couvrant la moitié droite de son visage était tatoué ____________. Le jeune garçon que j’étais l’évita miraculeusement et couru sur la route, le plus vite possible, au travers la fumé qui me masquait la vue et m’empêchait de respirer. Un bruit de sabot, une ombre dans la brume, et un coup sur la nuque, c’est tout ce que je me rappelle. Un cavalier m’avait pris par surprise et assommé, laissé pour mort devant une maison enflammé. Je suis tombé sur le sol, presque inconscient, mais je n’ai pas cédé à ce sommeil forcé avant de voir la structure vaciller sur ses fondations, et basculer lentement vers moi.

Je me suis réveillé, ébahis, dans un lit de cendre, surpris d’être encore vivant. Malheureux? Très certainement aussi. J’ai regardé le ciel diurne avec horreur, me demandant, à quelque part, si je devais mourir à cet endroit ou trouver la force de me relever. Finalement, je ne sais par quelle prodige, je me suis remis debout, et j’ai examiner les alentours : À mon grand soulagement, la majorité des bâtiments était toujours debout, et, pour ce que je pouvais en voir, la majorité des habitants aussi. Ceux-ci s’affairaient à reconstruire la maison effondrée, et enterrer les morts. Cet événement, certainement, resterait dans les mémoires. J’ai dit que mon soulagement était grand, certes, mais ma famille était quand même tombé, ainsi que ma maison, et jamais plus je ne serais comme avant. Ma place n’était plus dans ce village qui m’avait vu grandir. Après avoir dit adieu à mes morts, ma famille comme mes amis. J’ai fait la demande au près du conseil de ville de partir. Oublié le malheurs qui avait marquer d’un trait sanglant mon douzième anniversaires, voyager de par le monde ou je pourrais trouver une nouvelle voie. Et surtout, c’est ce jour que j’ai prononça ce qui allait changer mon destin à tout jamais; Un rituel qui provient d’un lieu lointains, tant dans l’espace que dans le temps, et auquel j’avais droit de par mon héritage elfique, bien qu’éloigné. Le serment sur le sang, qui porte son nom pour être marquer dans le sang qui à été versé, et parce qu’il ne se règle qu’avec d’autre sang. J’étais jeune pour une telle promesse, mais tous la prirent avec gravitée, et aucun ne la rirent : Je crois être la personne qui avait le plus perdu lors de cet événement maudit. Mais ils ne me laissèrent pas à l’instant partir pour essayer de concrétiser cette promesse de vengeance. Avant, Ils m’entraînèrent comme ils le purent, pendant un an. Les chasseurs m’apprenaient à tirer à l’arc, les meilleur bretteur m’apprenait l’art de l’épée. J’usais aussi de mes temps libre pour tenter de développer, sans grande réussite je l’admets, ce talent étrange que j’avais découvert en survivant à la fournaise. Mais les flammes me brûlaient comme avant, malgré toute mes tentatives.

Lorsque ce temps fut passé, on ne me retint pas plus longtemps : Tous me donnèrent un cadeaux d’adieu, beaucoup, certain de ne pas me revoir. Un artisan me tailla un belle arc, et de nombreuses flèches. Le forgerons me fit une épée a ma taille, sur laquelle il grava les armoirie de ma famille : Un renard stylisé, aux longues oreilles. D’autres équipements et des vivres constituèrent les cadeaux des autres, le tout rangé dans un nouveau sac à dos. C’est ainsi que, le jour de mon onzième anniversaire, je pris la route, en quête de mon destin.
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MessageSujet: Re: Pyromancien   Pyromancien EmptyMer 7 Juin à 21:00

Chapitre II


J'ai donc quitté Mon village natal à bord d'une caravane de marchant. Bien entendu, le propriétaire se refusait a croire que j'était en age de combattre et, par le fait même, ne pris pas mon offre de protection au sérieux ( Je m'était offert comme mercenaire). Néanmoins, il accepta que je les accompagne pendant une partie de leur voyage, a condition de ne pas avoir a me nourrir ou a s'occuper de moi. Ça m'allait parfaitement, puisque j'avais reçu comme cadeau d'adieu des vivres pour une vingtaine de jour, et que je devais rapidement apprendre a m'occuper de moi-même seul. D'ailleurs, c'était ça ou faire le chemin jusqu'a la grande ville seul, et a pied.

Je pris place dans le chariot, posa mon sac a dos (unique bagage) près de moi, et m'apprêtais à contempler le paysage durant le voyage. Je serais contre mon coeur la seule chose qui me restait de ma famille: Un médaillons hérité de ma mère, la seule chose qui n'ait été consumé par les flammes.

Nous étions six pour le voyage: Moi, le maître marchand, sa fille de 13 ans, un voyageur et deux mercenaire. Ceux-ci, des jumeaux, n'était pas très loquasses: Ils ne faisaient que rester assis, ici et là, les yeux fixer sur les irrégularité du paysage ou pourraient se cacher d'éventuel agresseurs. Bref, ils faisaient leurs travaille, rien de plus. Leur embaucheur s’occupait la majorité du temps à tenir les rennes des chevaux, reléguant quelques fois cette tache à sa fille, qui en était ravie. C’était un gros bonhomme souriant, le stéréotype type du marchant prospère, mais sans les riches atours et les vêtements dispendieux : Sur la grande route, il n’avait pas besoin de montrer sa richesse. La petite fille (je dis petite, encore qu’a l’époque elle me dépassait en taille et en age) avec de long cheveux blonds, soigné, et des petits yeux bruns. Aucune étincelle de malice ne brillait dans ceux-ci, mais on pouvait y voir de la timidité… surtout à mon égard. Ses vêtements, à elle, étaient soigneusement choisis : robe de soie assortie à des bottes et des gants de cuir, et, certain jour, à une cape de velours à capuchon. Le seul qui parlait, dans notre petite troupe, était l’autre voyageur (un barde, selon ses dires), et il parlait vraiment beaucoup. Durant la majeure partie du voyage, il nous régalait de ses paroles et de ses histoires, traitant de pays inconnus ou de légendes oubliés. Plusieurs fois il tenta d’engager une conversation, mais ni moi ni la jeune fille n’étions capable, face à ce recueil de connaissance vivant, de dire quoi que ce soit, et surtout pas de renvoyer des propos à la hauteur de sa discussion, alors nous ne pouvions qu’écouter sans mots dire, ébahit.

La première journée se passa ainsi, entre les récits épiques qu’il connaissait et les nombreuses anecdotes de sa vie de nomade. Le soleil descendit lentement, répandant des lueurs rouge et or sur l’horizon, avant de disparaître complètement, chassé par les ténèbres. Le maître marchant, lorsque la route devint trop noire pour s’y déplacer, arrêta la charrette et détacha les chevaux, qu’il nourrit et abreuva. Il n’avait pas peur de les laisser libres : ces cheveux, semble-t-il, était assez bien dresser pour ne pas partir. Il faisait trop chaud pour allumer un feu de camps, mais il sortit tout de même une lanterne, afin d’y voir clair pendant le repas. Lui, sa fille et les mercenaires jumeaux se nourrirent dans les réserves qu’il avait stocker tandis que moi et Kael (Le barde) fument obliger de fouiller dans nos sacs respectifs afin de nous nourrir. Alors que je terminais mon repas, Kael, lui, achevait de nous raconter comment il s’était échapper d’un château de brigand en jouant, à l’aide de sa flûte, la plus belle musique qu’il connaissait, et qu’il l’a si bien jouer que ses geôlier, les larmes au yeux, n’ont vu d’autre option que de le laisser partir. Après le repas, la fille (prénommée Élisabeth) l’a supplié de nous jouer une mélodie, et il n’a pu refuser. Il est allé fouiller pour sa flûte, l’a porté à ses lèvres et s’est mis à jouer : Les notes qui en sortir était si belle et si pures que, malgré qu’encore aujourd’hui je puisse les entendre par delà les années, il m’est impossible de coucher leur description sur papier. Je me rappelle avoir vaguement pensé qu’il jouait tellement bien que si il lui advenait de jouer une musique triste, ses auditeurs en mourraient très certainement, le cœur littéralement brisé de chagrin. Nous nous sommes couchés, cette nuit là, avec cette impression de perfection toujours présente dans nos cœurs et nos esprits. Bien que je ne me rappelle pas des rêves que j’ai fait à ce moment, je peux sans aucune hésitations dire que ce furent les plus beaux de mon existence. La semaine qui suivit fut calme, nos journées baignés dans les incroyables histoires de notre ami et, tout les soir, après le repas, il nous jouait une envoûtante musique… mais aucune ne rivalisa jamais avec la première qu’il nous joua. Il m’apprit même quelques mélodies, avec une flûte de bois qu’il avait en surplus. Lorsque, un soir, pendant qu’il m’apprenait des notes avant de dormir, je lui ai demandé pourquoi il avait deux flûtes, il me répondit :
-Parce que, un véritable aventurier peu vivre n’importe quoi dans ses périples. Il doit être prêt à tout… même à se faire des amis.
Je n’ai pas su quoi répondre à ça. Je crois avoir simplement souris, et avoir continuer la leçon.
Quand j’y repense maintenant, je comprend qu’il m’a appris beaucoup plus de chose que quelques notes de musique : À son coté, j’ai appris des légendes, des façons de survivre en voyageant, à la ville comme en nature, beaucoup de connaissance générales et, le plus important, il m’a appris que la musique était magique. Elle a définitivement un pouvoir sur le cœur des hommes, et on peux grâce à elle dominer la volonté des autres ou redonner de l’espoir lorsqu’une bataille semble perdu. Ceux qui la maîtrisent le mieux, même, sont capables, avec des accords soigneusement choisis, de rythmer la magie aux alentours pour en faire de puissant sortilège. Elle peu aussi servir à focaliser son esprit sur une chose, afin de dresser ses propres pouvoirs. Cces choses, il me les à appris au cours d’une de ses histoires, alors qu’il parlait des usages cacher de l’art de la musique. Mon attention à été capté par ce dernier fait : Voila un peu plus d’un ans à ce moment, j’avais survécu sans dommage à un incendie. Peut-être prétention de ma part, mais j’étais persuadés qu’il s’était passé quelque chose de surnaturel. Lorsque j’ai relevé la tête pour lui poser plus de question, j’ai remarqué qu’il me fixait avec un regard brillant. J’ai tut toute mes questions : Il savait quelque chose, et pendant ces quelques jours, j’avais suffisamment appris à le connaître pour savoir qu’il ne m’en dirais pas plus… il préférait laisser apprendre par soi-même. Je crois, d’ailleurs, que c’était un peu pour ça qu’il s’occupait plus de moi : il appréciait le fait que je sois partis seul de ma maison, a un age ou vivre sur les routes n’était même pas envisageable. Enfin, il voulait que j’apprenne par moi-même… et bien soit, c’est ce que je ferais. La nuit même.
J’ai donc fais des efforts, après m’être coucher, pour rester éveillé. C’était assez facile, en fait : gagner par l’excitation de mon plan, même si j’aurais chercher le sommeil, je ne l’aurais pas trouvé. J’ai laissé le temps s’écouler : lorsque je fus sur que tous étaient endormis, écoutant attentivement la respiration et les mouvements de mes compagnons, je me suis lentement levé de la paillasse qui me servait de lit. La lumière de la lune, à moitié pleine cette nuit là, étendait sur le paysage ses rayons d’argents, facilitant mon déplacement et mon orientation. Mon mentor, puisque je peux sans doute l’appelé ainsi, s’était endormi dans une espèce de chaise pliante, étrange invention. Dans ses mains, serrés contre son cœur, il tenait sa flûte-Il dormait toujours avec, si je me rappelle bien. Sa flûte était peut-être son bien le plus précieux. Et je n’osais imaginer ce qu’il me ferait si il s’apercevait que je la lui subtilisais… Je n’étais plus dans ma chaumière, ce ne serait plus mon père qui me gronderait : Ici, on était dans les affaires sérieuses, dans le Vaste Monde, on était responsable de ses actes. Mais je devais en avoir le cœur net : Je me suis, tranquillement, approché du barde et, doucement, sans faire de mouvement brusque, j’ai approché mes mains de l’instrument. Je retenais mon souffle, de peur que celui-ci ne réveil mon mentor. Les yeux fixer à la fois sur l’instrument et sur le visage de Kael, j’essayais de tout percevoir autour de moi, car j’avais l’impression que tout pouvait me mener à ma perte. Mes doigt touchèrent l’instrument, et pendant un instant, je suis rester sans bouger. Comme il ne réagissait pas, j’ai essayer, doucement encore une fois, de dégagé la flûte : En vain. Les doigts qui la tenaient étaient solidement noués autour d’elle dans une pose protectionniste et possessive. J’ai donc essayer un peu plus fortement : j’ai tenter d’écarter ses doigts du fruit de mon larcin : au moment ou je le faisait, une grimace est apparut dans son visage, et il a remuer brusquement. Saisi de peur, j’ai reculer hâtivement, laissant sa mains se refermer sur l’instrument. Plus que jamais, j’étais paralyser par crainte qu’il ne se réveil, mais je n’avais pas le choix : Je devais absolument avoir une flûte! Je devais essayer l’expérience que j’avais en tête : Si la musique permettait de découvrir ses propres pouvoirs, peut-être allais découvrir les miens à l’aide de son instrument. «Et puis», me résonnais-je, «c’était bien ça qu’il avait en tête, lorsqu’il m’a appris la musique».
Frappé par cette pensé, je me suis frappé la tête avec violence du plat de ma main. Bien entendu! Il m’avait appris à jouer, au cours des trois semaines précédentes, avec une deuxième flûte, moins belle certes, mais a peine moins efficace. Et cette flûte, il ne l’avait manifestement pas entre les mains! Soulagé à la penser que je n’aurais pas à arracher un morceau de viande dans la gueule du lion, je me suis mis à me diriger vers son sac pour fouiller à l’intérieur. Bien entendu, un vol restait un vol, mais il y avais beaucoup moins de chance qu’il me prenne sur le fait que lorsque je le faisait avec quelque chose qu’il tenait solidement. Dans son sac à dos, tout était bien organisé, je n’ai donc eu aucune peine à trouver ce que je cherchais. Je suis quand même rester quelques secondes à regarder dans son sac : On voyais bien qu’il était habituer aux voyages, et qu’il s’était fait un système pour pouvoir sortir les choses de son sac rapidement. Comparer au mien -un fouillis de premier ordre, dans ce temps- c’était incroyablement brillant. Je me suis dit qu’il allait falloir que je fasse quelque chose du genre, moi aussi.
Comme je ne devais pas m’attarder, j’ai fermé le sac, la flûte bien en main. La lanterne, que j’avais choisi comme entraînement, était encore posé sur le haut de la charrette, au même endroit que le repas de la veille. J’avais la flûte et la lanterne, mais il me manquait le briquet. Heureusement, j’avais amorce et silex dans mon sac, le nécessaire pour allumer un feu.
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