Parce que quand tout se consume de l'intérieur, l'impression qu'aucun mot n'accepte de sortir est omniprésente
Comme un soleil qui implose
dans les abîmes de ma gorge
Tremble la fureur
Et pleut ses larmes refoulées
Les sentiments se déchaînent
Sans que ma raison comprenne
Vint l'orage dans ma tête
Où la violence zèbres mes pensées
Ternit mon humeur
L'éruption de mes cris
Se déverse sur l'orgueil
Vainement, tu le retenais
Cuisant magma qui refuse à sécher
Comme le lui offre les secondes suivantes
sans obtempéré, il s'acharne
tempêtant, écumant
il s'enrage au combat
l'averse est profonde
Innévitable noyade
dans les rues de ma déception
Crise la jalousie
Maudit-elle mon esprit
Sorcière de la redoute
avec son grimoire de l'univers
vocifère ses vérités
persifle ses mensonges
Ma passion s'effrite
celle, qui hier encore, tombait
comme un vêtement de velour
sur le mirroir de mes impressions...
Ce n'est pas infiniment rimant, mais les sentiments y sont aussi pures que je pensais les vivres.Mes premiers écrits ici, aparemment...